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«La balade des perdus»
Un «road novel» cocasse pour un sujet délicat
Thomas Sandoz • Jean Kaempfer
«La balade des perdus»
Un «road novel» cocasse pour un sujet délicat
Thomas Sandoz • Jean Kaempfer
On rit beaucoup tout au long de La balade des perdus, roman qui met en scène le voyage rocambolesque de quatre handicapés et de leur éducatrice bougonne. On rit, mais quelque chose de plus grave se fait jour simultanément. Car l’intrigue épingle sous son apparente légèreté des enjeux centraux de notre société, en particulier l’obsession de la performance. Il sera question de ce nouveau titre et des précédents, mais également de la place de l’écrivain dans le monde contemporain.
Écrivain, épistémologue, docteur en psychologie, Thomas Sandoz, né en 1967, a notamment publié de la prose - aux éditions Grasset La balade des perdus (2018), Croix de bois, croix de fer (2016), Malenfance (2014), Les temps ébréchés (2013), Même en terre (2012) - et chez d’autres éditeurs La Fanée (G d’Encre, 2008), Gerb (L’Âge d’Homme, 2000), 99 minimes (L’Âge d’Homme, 1997). Il est également l’auteur d’essais dont Histoires parallèles de la médecine (Le Seuil, 2005), et de monographies dont notamment Allain Leprest - Je viens vous voir (Christian Pirot, 2003) et Derrick - L’ordre des choses (L’Hèbe, 1999). Parallèlement à ses projets personnels, il anime des ateliers d’écriture (en particulier Roman d’école) et travaille sur mandat comme médiateur culturel. Il a reçu plusieurs distinctions, dont le Prix Schiller 2011.
Jean Kaempfer
Professeur honoraire de littérature de l’Université de Lausanne.
A l’occasion de la réédition de «L’Histoire de la littérature en Suisse romande» (Zoé, 2015), il convient de se reposer la question de la spécificité de la littérature romande. Sommes-nous toujours dans le besoin d’affirmer une identité romande face à la domination du milieu parisien, comme l’a eu fait Bertil Galland ? Ou de considérer comme certains experts qu’il n’y a plus à proprement parler d’identité mais plutôt une spécificité ? En d’autres mots, de quelle manière la terre dans laquelle on plante ses racines donne-t-elle un ton ou une couleur spécifique ? La globalisation n’a-t-elle pas elle aussi brouillé les frontières ? Pour en débattre, des écrivains et des « yeux » de spécialistes provenant de part et d’autre de la ligne de démarcation franco-suisse !
La table ronde sera animée par la présidente du Salon du libre de Genève et critique littéraire Isabelle Falconnier.
Chargée de projet Vie littéraire, en charge des Petites Fugues, festival littéraire itinérant organisé par le Centre régional du livre de Franche-Comté.
Pascale Kramer
Écrivaine suisse établie en France et auteure notamment de «L’implacable brutalité du réveil» et d’«Un homme ébranlé» (Mercure de France, 2009 et 2011) ou encore «Gloria» (Flammarion, 2013).
Thomas Sandoz
Écrivain, épistémologue, docteur en psychologie, Thomas Sandoz, né en 1967, a notamment publié de la prose - aux éditions Grasset La balade des perdus (2018), Croix de bois, croix de fer (2016), Malenfance (2014), Les temps ébréchés (2013), Même en terre (2012) - et chez d’autres éditeurs La Fanée (G d’Encre, 2008), Gerb (L’Âge d’Homme, 2000), 99 minimes (L’Âge d’Homme, 1997). Il est également l’auteur d’essais dont Histoires parallèles de la médecine (Le Seuil, 2005), et de monographies dont notamment Allain Leprest - Je viens vous voir (Christian Pirot, 2003) et Derrick - L’ordre des choses (L’Hèbe, 1999). Parallèlement à ses projets personnels, il anime des ateliers d’écriture (en particulier Roman d’école) et travaille sur mandat comme médiateur culturel. Il a reçu plusieurs distinctions, dont le Prix Schiller 2011.
Isabelle Falconnier
Présidente du Salon du livre de Genève et critique littéraire.
Caroline Coutau
Directrice des Éditions Zoé
Pourquoi les pilotes kamikazes portaient-ils un casque? Survol de la technologie des moteurs d’avion (1941-1945)
Anibal Jaimes • Thomas Sandoz
Pourquoi les pilotes kamikazes portaient-ils un casque? Survol de la technologie des moteurs d’avion (1941-1945)
Anibal Jaimes • Thomas Sandoz
Mécanicien et historien de l’aviation, cofondateur de l’association Hepta.aero, Anibal Jaimes (AJ) décrit les dimensions techniques, stratégiques et sociales de la bataille aérienne que se livrent Japonais et Américains au dessus du Pacifique de 1941 à 1945; il développe aussi le phénomène des pilotes kamikazes japonais. Présenté par Thomas Sandoz, AJ commence par décrire l’habillement des pilotes de guerre, illustrant son propos de diapositives. Il explique que le départ des kamikazes était précédé d’un cérémonie religieuse et que le port du casque dans l’aviation japonaise était une tradition. Après un historique de la rivalité entre Américains et Japonais sur le territoire Pacifique, il retrace l’évolution de l’aéronautique militaire. AJ décrit enfin les stratégies d’attaques aériennes sur le Pacifique. En conclusion, il regrette que le terme de kamikaze soit galvaudé notamment dans la description des attentats suicides au Proche-Orient. Lors du débat, AJ revient notamment sur le statut des kamikazes dans la culture japonaise.
Mécanicien d’entretien d’aéronefs. Informaticien et historien de l’aviation. Cofondateur de l’association Hepta.aero
Thomas Sandoz
Écrivain, épistémologue, docteur en psychologie, Thomas Sandoz, né en 1967, a notamment publié de la prose - aux éditions Grasset La balade des perdus (2018), Croix de bois, croix de fer (2016), Malenfance (2014), Les temps ébréchés (2013), Même en terre (2012) - et chez d’autres éditeurs La Fanée (G d’Encre, 2008), Gerb (L’Âge d’Homme, 2000), 99 minimes (L’Âge d’Homme, 1997). Il est également l’auteur d’essais dont Histoires parallèles de la médecine (Le Seuil, 2005), et de monographies dont notamment Allain Leprest - Je viens vous voir (Christian Pirot, 2003) et Derrick - L’ordre des choses (L’Hèbe, 1999). Parallèlement à ses projets personnels, il anime des ateliers d’écriture (en particulier Roman d’école) et travaille sur mandat comme médiateur culturel. Il a reçu plusieurs distinctions, dont le Prix Schiller 2011.
Le sport comme instrument de paix
Adolf Ogi • Patricia Gacond • Thomas Sandoz
Le sport comme instrument de paix
Adolf Ogi • Patricia Gacond • Thomas Sandoz
Ancien conseiller fédéral devenu conseiller spécial de l’ONU pour le sport, Adolf Ogi (AO) présente son concept d’utilisation du sport comme moyen de pacification. Présenté par Patricia Gacond, cheffe du Service cantonal des sports, AO délivre son message avec emphase, optimisme et son accent suisse-alémanique légendaire. « Il faut faire quelque chose pour un monde meilleur. Le sport est un instrument de paix oublié. » Il décrit les atouts de la pratique sportive pour l’apprentissage de la vie communautaire et pour la santé. AO raconte comment il a réussi à faire pénétrer cette idée dans le sérail du Secrétariat général des Nations unies, puis il cite quelques exemples d’application dans des camps de réfugiés en Afrique. Lors du débat, AO décrit son travail de coordination et défend l’influence positive du football sur la nature humaine.
Politicien; Conseiller fédéral jusqu’en 2000; Conseiller spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour le sport au service du développement et de la paix (2004).
Patricia Gacond
Cheffe du Service cantonal des sports (2004).
Thomas Sandoz
Écrivain, épistémologue, docteur en psychologie, Thomas Sandoz, né en 1967, a notamment publié de la prose - aux éditions Grasset La balade des perdus (2018), Croix de bois, croix de fer (2016), Malenfance (2014), Les temps ébréchés (2013), Même en terre (2012) - et chez d’autres éditeurs La Fanée (G d’Encre, 2008), Gerb (L’Âge d’Homme, 2000), 99 minimes (L’Âge d’Homme, 1997). Il est également l’auteur d’essais dont Histoires parallèles de la médecine (Le Seuil, 2005), et de monographies dont notamment Allain Leprest - Je viens vous voir (Christian Pirot, 2003) et Derrick - L’ordre des choses (L’Hèbe, 1999). Parallèlement à ses projets personnels, il anime des ateliers d’écriture (en particulier Roman d’école) et travaille sur mandat comme médiateur culturel. Il a reçu plusieurs distinctions, dont le Prix Schiller 2011.